Pendragon - Année 489
Posté : dim. juin 10, 2018 10:50
Après avoir rencontré le géant d'une forêt reculée du Pays de Galles (ou plutôt dans l'Autre-Monde) lors de leurs dernières aventures, Sire Vaughan (Etienne) rentra de son côté avec Sire Drem. Sire Tristram (moi) et Sire Caïn (Irénée) prirent la route un peu plus tard et croisèrent celle de Sire Cynhafal (Papi) qui venait aussi en ces contrées pour terrasser le géant. Après lui avoir exposé l'impossibilité de la réalisation de sa quête, il décida d'accompagner les deux chevaliers qui se souvenaient (difficilement, certes, mais se souvenaient tout de même) qu'il leur restait un repaire de brigands à dénicher et purger de ses malandrins.
Après une rencontre avec Maelon de Bristol dit "le Chanceux" à Bath, nos trois compagnons débusquèrent les bandits et leur repère au cœur de la forêt du Somerset. Le combat fut des plus rudes et les coups portés par l'ennemi furent d'une précision parfois redoutable. Ils frappèrent si violemment le pauvre Caïn que ce dernier tomba sous l'infâme assaut. Fort heureusement, la profonde estafilade qu'il reçut ne suffit pas à le tuer. Néanmoins, mus par la nécessité de sauver leur camarade de sa mauvaise situation, Tristram et Cynhafal jurèrent comme un seul homme que leur honneur ne laisserait pas de vils brigands attenter à la vie d'un homme d'honneur. Ils triomphèrent de justesse, mais ils n'étaient point au bout de leur peine, car il leur restait à affronter l'adverserissime ! Le chevalier félon Bane attendait du haut de son donjon en ruine. Contre toute attente, il fut battu sans difficulté. Il chut sous les coups combinés des deux survivants.
Or donc il advint que Bane eût plongé si loin dans le déshonneur qu'il alla jusqu'à séquestré et violant la fille du comte de Somerset, lui subtilisant son magnifique collier et renvoyant la pauvre demoiselle désolée. Les chevaliers retrouvèrent le collier et le rapportèrent au comte, tout stupéfait qu'il était de le revoir ainsi que d'apprendre la capture des marauds. La pendaison fut un châtiment bien doux comparé à la colère de Griffin.
Touché par le bravoure de Caïn, Tristram et Cynhafal, Griffin jura fidélité et amitié au comte de Salisbury et proposa pour sceller cette alliance par le mariage de Tristram et sa fille. Proposition que Tristram accepta, bien qu'il estima que ce fût bien trop d'honneur pour un seul homme. Le mariage serait célébré à Pentecôte, avant le départ pour la grande campagne contre le duc Gorloy.
Après une rencontre avec Maelon de Bristol dit "le Chanceux" à Bath, nos trois compagnons débusquèrent les bandits et leur repère au cœur de la forêt du Somerset. Le combat fut des plus rudes et les coups portés par l'ennemi furent d'une précision parfois redoutable. Ils frappèrent si violemment le pauvre Caïn que ce dernier tomba sous l'infâme assaut. Fort heureusement, la profonde estafilade qu'il reçut ne suffit pas à le tuer. Néanmoins, mus par la nécessité de sauver leur camarade de sa mauvaise situation, Tristram et Cynhafal jurèrent comme un seul homme que leur honneur ne laisserait pas de vils brigands attenter à la vie d'un homme d'honneur. Ils triomphèrent de justesse, mais ils n'étaient point au bout de leur peine, car il leur restait à affronter l'adverserissime ! Le chevalier félon Bane attendait du haut de son donjon en ruine. Contre toute attente, il fut battu sans difficulté. Il chut sous les coups combinés des deux survivants.
Or donc il advint que Bane eût plongé si loin dans le déshonneur qu'il alla jusqu'à séquestré et violant la fille du comte de Somerset, lui subtilisant son magnifique collier et renvoyant la pauvre demoiselle désolée. Les chevaliers retrouvèrent le collier et le rapportèrent au comte, tout stupéfait qu'il était de le revoir ainsi que d'apprendre la capture des marauds. La pendaison fut un châtiment bien doux comparé à la colère de Griffin.
Touché par le bravoure de Caïn, Tristram et Cynhafal, Griffin jura fidélité et amitié au comte de Salisbury et proposa pour sceller cette alliance par le mariage de Tristram et sa fille. Proposition que Tristram accepta, bien qu'il estima que ce fût bien trop d'honneur pour un seul homme. Le mariage serait célébré à Pentecôte, avant le départ pour la grande campagne contre le duc Gorloy.